La lettre Hamza et le Soukoun (l'absence de voyelle)
Théorie
Bismillahi rrahmani rrhim ; Au nom d’Allah, le tout miséricordieux, le très miséricordieux. Que la prière et le salut soit sur notre Prophète Mohamed
Hamza est « l’absence » du son de la consonne : Les lettres qu’elle prend comme support, du fait de leur « rôle de chaise/support », ne se lisent pas. Elles perdent le son de leur consonne car elles ne sont pas là comme lettre mais comme support/chaise pour hamza. Donc c’est la hamza qu’on lit en fonction de la voyelle qu’elle porte « a /i/ou» ; en d’autre terme, elle neutralise la consonne et ne laisse que la voyelle à lire.
La soukoun: est une voyelle vide/muette/neutre qui isole le son de la consonne « absence du son de la voyelle ». À contrario des voyelles courtes, elle neutralise le son de la lettre de telle sorte que c’est la sonorité de la lettre qui ressort.
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| Exercice 1 |